vendredi 23 octobre 2009

Un jour à Rio...


À peine plus de 24 h de bus depuis Iguazú en Argentine, et nous voilà dans ce pays surprenant, et dans cette étonnante ville, la fameuse Rio de Janeiro.

Valami 24 óra busz utàn, itt vagyunk ebben a különleges orszàgban, és ebben a mégkülönlegesebb vàrosban: Rio de Janeiro, a 12 millió lakossával!

Mais nous aurait-on menti? Il ne reste rien de la légende, pas un seul survivant du string à Rio, c'est old-fashion dit-on... je ne vous raconte pas combien le Nico est fâné, ha ha ha. Il en parlait et rêvait depuis 3 mois.

Ainsi apprend-on que le "fil dentaire" n'est plus à la mode, place aux petits maillots. Or ici la plus grande taille disponible est le 38, comme si elles étaient toutes parfaites (ce qui n'est pas le cas, je vous rassure, les filles!).

Seulement personne n'a honte de ses rondeurs, et on affiche ses formes sans complexes. Perso, je ne m'humilierais pas á forcer sur mes hanches un bikini local, dans une boutique d'Ipanema ou de Copacabana (les 2 plages célèbres et branchées de Rio). On va en rester aux essayages de tongues Hawaianas:-)
Mikike nagy bànatàra, a brazil "tanga" legendàból nem maradt mai napjainkra semmi. Szegény Miki, 3 hónapja csak erröl álmodik. Vége a tanga divatnak, újra a kisméretü bikinik uraljàk a rioi Copacabana és az Ipanema híres napozókat. Àllítólag, 38-as nàl nagyobb méretü bikinit nem àrulnak. De kedves hölgy olvasók, nem kell abban a téves fogalomban szenvedni, hogy itt minden fehérnép belefér a 38-asba :-) Belegyömöszölik magukat, viszont nem szégyenkeznek az idomos formáik miatt.

Par contre, pour le plaisir des yeux, les plages abondent de beaux mâles aux corps finement sculptés. Amies célibataires, ne vous faites pas d'illusions cependant sur une éventuelle rencontre, ces beaux garçons ne sont pas -malheureusement pour vous - straight.

Izmos ápolt bakokban viszont hemzseg a napozó... de csalódás ne érje azt a nöszemélyt aki kéjenc reményeket füz egy ilyen talalkozáshoz, mert ezek az àpolt szép mének mind a másik oldalon szimatolnak.

Ci-contre vous verrez la plage de Copacabana, où règne l'obsession du culte du corps: footing, barres parallèles, aires de muscu... et caipirinhas pour les moins courageux au sport : c'est la boisson nationale à base de cachaça (alcool de rhum), citron vert, sucre, glaçons. Et Chez Michel (notre hôte sympathique à 2 pas de la plage de Copacabana), on remet ça à l'heure de l'apéro. Nous avons imité les locaux en nous mêlant aux joggeurs sur la plage le soir... agréable dans l'air iodé, mais dur dur de tenir le rythme par 25° et une humidité de 60%.
Ime a híres sarló formàjú Copacabana tengerpart. A sport és a test kultusz uralkodik, mikor nem a Caipirinha, Brazilia nemzeti itala és göze veszi àt a hatalmat a tengeri jódos pàrolgó agyak felett.
Ces superbes vues s'offrent aux visiteurs depuis le Pão de Açucar, le Pain de Sucre, un énorme rocher désservi par le téléphérique. Là haut ça grouille de riches touristes américains. Les Brésiliens paraissent chaleureux, ouverts, serviables, et polis. Dans le métro très chic de Rio, il existe un wagon exclusivement réservé aux femmes de 18h à 21h. Pas mal, non?

A Pão de Açucar-dombról származnak ezek a magaslati képek. Sok a nagyképü amerikai turista odafenn, de szerencsére a brazilok kedvesebbek, nyíltabbak, udvariasabbak és melegebb emberek. A legmeglepöbb nép a kontinensen eddig, tele vitalitással.


Puszilunk mindenkit, Réka, Miki

Bises á tous, Réka, Nico


Rio de Janeiro

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